Mieux me connaître
Mon moteur ?
La foi dans la vie (je ne parle pas de religion, mais de VIE), je dirai plutôt une philosophie de vie.
Mes atouts ?
Mon immense curiosité, ma créativité
Ma façon de fonctionner ?
En exploratrice, en aventurière de la vie !
Mes points forts ?
Foncer. Me poser les questions après. Ma ténacité.
Mes points d’amélioration ?
J’aime mes forces et mes axes de progression, et je pense être parvenue, en fin de compte, à en faire quelque chose de tout à fait sympathique, une synthèse en quelque sorte.
Mes plus grandes difficultés passées ?
La peur de réussir (eh oui, vous verrez, c’est souvent une grande cause inconsciente d’échec).
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Derrière moi, un long passé de thérapies puis la fabuleuse découverte du coaching : là, c’est de la mise en pratique, on passe à l’acte. Toutes ces années, ces thérapies, ces formations, m’ont conduite là où j’en suis aujourd’hui, c’est-à-dire dans cette enthousiasmante envie de faire bouger les énergies, de dynamiser la vie.
Une part de chance
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La médecine allopathique, c’est-à-dire classique, médicamenteuse, ne marchait pas pour moi. Chaque fois que j’allais voir un médecin à Uzès ou ailleurs et que je commençai un traitement, j’étais encore plus mal. J’ai dû m’ouvrir à autre chose, aller explorer des univers plus « alternatifs ».
Et là, j’ai commencé à comprendre à quel point existait en nous une autre dimension, malheureusement occultée par la médecine contemporaine. C’est la dimension de l’âme. Nous ne sommes pas qu’un corps, découpé en organes, muscles, tendons, os…
Ce n’est pas un virus ou une bactérie qui nous attaque, mais un système immunitaire qui s’affaiblit à cause d’une manière de penser erronée, souvent morbide. A cause aussi d’autres facteurs comme le mal manger et le trop boire, la cigarette, la pollution, etc.
Le mental reste la cause numéro Un, car un mental tourmenté induit une trop grande dose de stress, qui va épuiser nos organes vitaux.
De fil en aiguille
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J’ai cheminé vers une compréhension de la vie différente. Mon chemin a été long et difficile. Aujourd’hui, tout va très vite. Une nouvelle compréhension émerge dans les consciences. Un grand maitre Indien disait « Nous, l’humanité, sommes tous les cellules d’un même corps, et nous passons notre temps à nous faire la guerre » (Sri Aurobindo – Pondichéry).
Dans notre corps, la prolifération cancéreuse procéde de la même façon. Y aurait-il un manque d’amour profond au sein de notre être pour tomber malade et en mourir?
En Grec, maladie signifiait « tourner en rond ». Ce que j’ai compris, notamment à travers le coaching, c’est que pour cesser de tourner en rond, il fallait passer à l’action.
C’est ce que je fais à travers mon travail, qui éveille à la vie et à la joie.
Un autre regard
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A 65 ans, je suis pleine de vie et d’énergie. Bien qu’ayant traversé, comme la plupart d’entre vous, des moments de souffrance, d’échecs, de difficultés, je suis très optimiste car il n’y a rien de déterminé, et si nous le voulons, nous pouvons vivre dans la joie et l’abondance. Le bonheur se cultive chaque jour tel un jardin. L’on y sème des graines d’amour et de bienveillance pour soi et l’on récolte ce que l’on sème pour soi également.
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N’avez vous jamais remarqué qu’un vécu dans la déprime attire la déprime, alors qu’un vécu dans la sérénité attire la sérénité… Pour cela, il suffit de s’en convaincre : cultivons notre jardin intérieur pour vivre heureux. Je l’expérimente depuis plus de 30 ans. Ma vie a radicalement changé et je vous partage cette expérience.
Parfois, l’on hésite. J’ai hésité avant d’entreprendre ce chemin vers moi même car il y a la solitude qui mène à une meilleure connaissance de soi et des autres. Puis, il y a bien sûr ce que la vie apporte de merveilleux quand je me suis détachée peu à peu de mes peurs, de mes doutes. Quand j’ai observé la vie avec plus de détachement et de lâcher-prise, résolument dans l’accueil et l’ouverture aux autres notamment lors de mes nombreux voyages à travers le monde. J’y ai découvert d’autres cultures, d’autres pratiques et toujours cette furieuse volonté de vivre même dans l’adversité; J’ai rencontré des personnes de tout horizon socio-culturel qui m’ont apporté beaucoup. Ils m’ont aidé à mieux cibler mes priorités, à découvrir les plaisirs d’un bonheur simple.
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Une part de chance
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La médecine allopathique, c’est-à-dire classique, médicamenteuse, ne marchait pas pour moi. Chaque fois que j’allais voir un médecin à Uzès ou ailleurs et que je commençai un traitement, j’étais encore plus mal. J’ai dû m’ouvrir à autre chose, aller explorer des univers plus « alternatifs ».
Et là, j’ai commencé à comprendre à quel point existait en nous une autre dimension, malheureusement occultée par la médecine contemporaine. C’est la dimension de l’âme. Nous ne sommes pas qu’un corps, découpé en organes, muscles, tendons, os…
Ce n’est pas un virus ou une bactérie qui nous attaque, mais un système immunitaire qui s’affaiblit à cause d’une manière de penser erronée, souvent morbide. A cause aussi d’autres facteurs comme le mal manger et le trop boire, la cigarette, la pollution, etc.
Le mental reste la cause numéro Un, car un mental tourmenté induit une trop grande dose de stress, qui va épuiser nos organes vitaux.
Le rôle du praticien est de vous permettre de mettre en mots les maux du corps et de l’esprit, à votre rythme et en douceur.
Il y a 30 ans, j’ai découvert la sophrologie. Cette technique m’a permis de résoudre de façon définitive mes problèmes de sommeil.
J’ai appris à lâcher-prise, ralentir mon rythme, aller à l’essentiel. J’ai pu comprendre quel était le lien de cause à effet entre émotions et douleurs physiques.
Mes crises de spasmophilie et mes migraines fréquentes ont disparu. Cette merveilleuse expérience personnelle m’a donné envie d’aider les autres en devenant sophrologue.
